Notre histoire
Après avoir fait condamner l’État français devant la Cour européenne des droits de l’Homme pour son inféodation au lobby de la chasse, Gérard Charollois, magistrat de profession et grand défenseur de la nature, décide de créer, aux côtés d’Armand Farrachi, essayiste et romancier, et de Jean-Claude Hubert, professeur, un mouvement destiné à défendre l’ensemble du vivant.
C’est ainsi que naît en 2002 la Convention Vie et Nature dont le fil conducteur repose sur le
biocentrisme : le respect et la préservation du vivant dans son ensemble doit être la préoccupation et la valeur premières de notre société.
Pendant 15 ans, la Convention Vie et Nature va porter ces idées et s’inscrire dans différents combats sur le terrain associatif et militant afin d’obtenir des avancées significatives pour l’arbre, l’animal et l’homme.
Constatant malheureusement que le monde politique dans son ensemble n’est obnubilé que par l’obéissance docile aux lobbies et à la servitude aveugle au libéralisme économique mortifère et destructeur, Gérard Charollois décide de sauter le pas et de proposer sa candidature à la primaire organisée par Europe-Écologie-Les-Verts dans le cadre de l’élection présidentielle de 2017.
C’est à cette époque que fut créé le parti Une force pour le vivant afin de soutenir cette candidature. Présentée comme une primaire ouverte et novatrice, l’appareil interne du parti organisateur s’est très vite mis en marche afin d’écarter les deux candidats de la société civile et ne garder que les cinq candidats issus du sérail, pour finalement obtenir l’échec électoral que l’on connaît (le candidat retenu s’effaçant lors de sa campagne au profit du candidat socialiste qui, lui-même, obtint moins de 7 % des suffrages exprimés).
Depuis cette mauvaise expérience, Une force pour le vivant était en sommeil.
Début 2023, un collectif d’individus se retrouvant pleinement dans les valeurs portées par la
Convention Vie et Nature a décidé de relancer la dynamique de ce parti pour qu’il devienne le bras armé politique du monde associatif qui, depuis des décennies, tente de pallier les carences des gouvernements successifs en termes de justice sociale, de solidarité, de préservation de la biodiversité, d’entraide, de défense de l’intérêt général et du bien-être collectif, valeurs sacrifiées par les décideurs sur l’autel de l’argent, de l’enrichissement personnel et de la carrière individuelle.
L’avenir de notre société sera biocentriste ou ne sera pas.